L'Haum-moor et la vraie FOI

Au sujet de la page 257 de la VLC et sur le thème de la bonne Foi :

Tout d'abord les dimensions 3 et 14 interpellent. Elles suggèrent de manière évidente la valeur pi et donc le cercle. L'abbé Boudet écrit à plusieurs reprises que le cercle symbolise la perfection divine.
Ensuite, il associe des croyances religieuses à des pierres. Il différencie le silex et la Pierre de trou. L'un semblant symboliser l'Église de Rome et l'autre une croyance religieuse plus saine, plus noble et non pervertie.

Le silex allume des feux ... En effet combien de feux, combien de bûchers allumés par cette Église pervertie ?

La pierre de Trou, semble véhiculer selon l'abbé un enseignement religieux primordial, plus vertueux, plus honorable. Le jade dont elle serait constituée, l'associe même aux notions de pureté, de sagesse et même de résurrection !

J'ai souvent démontré l'importance de la numérotation dans la VLC, ainsi que l'importance du rang des jours dans l'année. Le 257ème jour de l'année est le 14 septembre, jour où l'on célèbre la Vraie Sainte Croix ! Le choix d'évoquer cette distinction de ''croyances religieuses'' apparaît judicieux en cette 257ème page.

De plus, le 14 associé au silex, peut faire référence à ce 14 septembre, ainsi qu'aux 14 stations d'un chemin de croix ! L'ensemble se référant à une Église qu'il jugerait décevante.
L'évocation de l'Haum-moor pourrait aussi suggérer le Crucifié !
L'abbé associe lui même ce terme à ''Homme mort'' et j'ai déjà évoqué le lien entre l'Haum-moor et le calvaire de Rennes-les-Bains. Voir ici : https://rennes-chateau.onlc.fr/23-LHaum ... aires.html

Il semble donc que l'abbé ait choisi la page associée à la célébration de la Vraie Sainte Croix, afin de suggérer, à travers silex et pierre de Trou, une distinction entre ''croyances religieuses'' : l'une s'appuyant sur des notions certes essentielles, mais ensuite pervertie, peu estimée dans nos montagnes (mots employés par l'abbé au sujet du silex) et l'autre plus saine, plus authentique, protectrice, primordiale.

Thierry Espalion